Communiqué de presse ANPDE : Vaccination COVID des 5-11 ans, les infirmières puéricultrices en première ligne

Paris, le 15 février 2022

Suite aux recommandations du Comité consultatif national d'éthique (CCNE), du Conseil d'orientation de la stratégie vaccinale (COSV) et de la Haute Autorité de santé (HAS), depuis le 22 décembre 2021, la vaccination anti-covid est accessible aux enfants de 5 à 11 ans. Cette classe d’âge est aujourd’hui celle qui a le plus fort taux d’incidence. Face à la contagiosité du variant Omicron, le Ministère des solidarités et de la santé intensifie ses messages pour inciter à la vaccination contre la Covid 19. L’arrêté du 26 janvier 2022 modifiant l’arrêté du 1er juin 2021, autorise de nouvelles catégories de professionnels de santé, dont la profession infirmière, à prescrire et à administrer le vaccin pédiatrique contre la Covid-19. L’ANPDE rappelle que vacciner un enfant n’est jamais un acte anodin, et que les Infirmières Puéricultrices Diplômées d’Etat (IPDE) mobilisent leurs compétences pour garantir la vaccination des plus jeunes.

Vacciner un enfant n’est pas un acte anodin !

La pandémie que nous vivons n’aura rien épargné aux enfants. Un portfolio de fiches techniques du ministère “vaccination anti covid des enfants de 5 à 11ans”, c’est bien, un.e puériculteur.trice, c’est mieux !

L’enfant n’est pas un petit adulte !

Depuis le début de la campagne de vaccination, les adultes se posent des questions, ils ont besoin de comprendre et ressentent le besoin d’être rassurés. Pourquoi en serait-il autrement pour les enfants ? Les questions sont différentes, les priorités sont autres et pour autant l’enfant a besoin d’être écouté, entendu et accompagné, au regard de ses capacités de discernement.

Un des principaux droits de l’enfant est le celui d’être soigné(e) et de bénéficier de soins et de traitement adaptés à son âge. Pour cela, il est indispensable que les soignant.e.s aient acquis des connaissances sur l’enfant, ses besoins et ses étapes de développement. L’ANPDE rappelle donc une nouvelle fois que, depuis 2009, les infirmiers sont formés exclusivement aux soins des adultes, le cursus ne comprenant aucun module de pédiatrie.

Les infirmières puéricultrices (infirmières spécialisées en pédiatrie, rappelons-le) jouent donc un rôle essentiel dans la vaccination actuellement.

En ville, en PMI… Une présence des IPDE sur l’ensemble du territoire pour garantir une couverture vaccinale des enfants

L’ANPDE précise que les Infirmières Puéricultrices Diplômées d’Etat accompagnent déjà les familles pour l’ensemble des vaccinations de leur enfant, que ce soit dans les services de Protection Maternelle et Infantile (PMI) ou en exercice libéral. Les IPDE permettent une prise en soin holistique lors de la vaccination des enfants. Elles les accompagnent en les rassurant, en les aidant à comprendre les différentes étapes de ce geste.

L’ANPDE encourage les parents à faire appel à des infirmières puéricultrices pour la vaccination de leur enfant, et demande expressément aux centres de vaccination pédiatriques d’employer des IPDE. Elle enjoint également le Ministère des solidarités et de la santé à mentionner à l’avenir les IPDE comme soignants ressources dans la mise en œuvre de vaccination des enfants.


Brigitte Prévost – Présidente- ANPDE

06 65 29 53 16

presidence@anpde.asso.fr


Sébastien Devillers – Aurasi Communication

06 63 43 89 24

sdevil@aurasicommunication.com


Estelle Ledon
Communiqué de presse: - Présidentielles - La profession infirmière, les spécialités, la formation et les étudiants lancent la semaine de la santé

Paris, le 25 janvier 2022 – Dans le cadre des prochaines élections présidentielles qui se dérouleront les  10 et 24 avril prochains, L’ANFIIDE, l’ANPDE, le CEFIEC, la FNESI et l’UNAIBODE/SNIBO invitent le 10  mars 2022, les candidats à la Présidence de la République. Ces derniers viendront présenter leur  programme concernant l’évolution du système de santé de demain et notamment sur la profession  infirmière. Cette journée avec les présidentiables se déroulera dans un studio TV et sera retransmise en  direct sur YouTube. (ici)

Pourquoi la semaine de la santé ? 

Parce que c’est une priorité majeure des Français, les associations organisatrices proposent la « Semaine de la  santé » du 10 au 17 mars. Les candidats auront l’occasion de venir exprimer leurs engagements sur le système  de soins. Le premier évènement se déroulera le jeudi 10 mars et traitera principalement des sujets liés à l’avenir  de la profession infirmière.  

En effet, la crise que nous vivons depuis deux ans a renforcé les problématiques déjà connues du système de  santé. Gageons qu’elles seront également au cœur des campagnes des candidats. Une récente enquête* révèle  que 96% des étudiants infirmiers sont fiers de leur futur métier alors que seul un tiers se disent confiants dans  l’avenir du système de santé. 

Acteurs et témoins essentiels dans la gestion de la pandémie à l’hôpital comme à la ville, les soignants,  notamment la profession infirmière, veulent être entendus sur leurs problématiques de terrain rencontrées au  quotidien. 

Un changement de paradigme nécessaire ? 

L’avenir du système de santé doit nécessairement se construire avec l’ensemble des acteurs qui le composent  et inévitablement en considérant ceux du terrain. Dès lors, quelles préconisations sont envisagées pour faire  évoluer un système qui tend à montrer ces limites face à la crise ? Quelles solutions pour endiguer les  problématiques de ressources humaines ? Comment lutter contre le désintérêt des métiers de la santé, contre  les abandons de postes et de formation ? Quelles sont leurs visions quant au défi de l’attractivité des métiers de  la santé. Autant de questions légitimes que la profession souhaite aborder avec les candidats.

Une organisation 

Le jeudi 10 mars, les candidats sont conviés à venir s’exprimer sur un temps imparti, avec les président(e)s des  associations organisatrices. Les échanges seront accessibles à tous et en direct via les chaînes YouTube des  associations. 

En considérant la profession dans son ensemble avec les spécialités, la formation et les acteurs des instituts et les étudiants, il est indéniable que les candidats sauront porter un intérêt particulier à cette invitation. 

*Enquête : « Crise Covid-19 : quelles évolutions de la perception de leur métier et attentes pour l’avenir des étudiants en santé », Enquête FHF, FNESI et CEFIEC 

ANFIIDE : Association Nationale Française des Infirmières et Infirmiers Diplômés et des Etudiants 

ANPDE : Association Nationale des Puéricultrices(teurs) Diplômé(e)s et des Etudiants 

FNESI : Fédération Nationale des Etudiants en Soins Infirmiers 

CEFIEC: Comité d’Entente des Formations Infirmières et Cadres 

UNAIBODE/SNIBO : L’Union Nationale des Associations d’Infirmiers de Bloc Opératoire Diplômés d’Etat, Syndicat National des Infirmiers d Bloc


Sébastien Devillers

  Aurasi communication 

06 63 43 89 24  



Estelle Ledon
Communiqué de presse : les infirmière(ier) s puéricultrices (teurs) attendent la concrétisation des annonces de M. Olivier Véran

Communiqué de presse

Des avancées marquantes pour la profession d’infirmière puéricultrice.

Réingénierie de la formation, Diplôme d’Etat en 2 ans, grade Master, 

nomenclature d’actes.  

Paris, le 24 janvier 2022 Dans le cadre du rapport IGAS « Trajectoires pour de nouveaux partages de compétences entre professionnels de santé », le Ministre des Solidarités et de la Santé et le secrétaire d’Etat en charge de l’enfance et des familles ont souhaité entendre et échanger avec les représentants des Infirmières Puéricultrices Diplômées d’Etat (IPDE) pour proposer des évolutions importantes. L’ANPDE, le CEEPAME, le CIP, le CJSIP et la SoRIP, présents à cette réunion, se félicitent des propositions formulées par Olivier Véran et Adrien Taquet. Réingénierie de la formation en deux ans, grade Master et nomenclature d’actes pour favoriser le développement des infirmières puéricultrices en ville, sont les messages forts émis lors de cet échange. Pour l’ensemble des propositions, précisons le soutien du CNP de Pédiatrie et des organisations syndicales. Adrien Taquet reconnaît aux IPDE leur place prépondérante dans l’accompagnement des enfants et des familles au cours des 1000 premiers jours.

Pratique avancée et grade Master pour les IPDE

Olivier Véran a rappelé que le développement de la pratique avancée est une priorité et reste un levier indispensable pour décloisonner notre système de soins. S’agissant de la pratique avancée pour les IPDE, le Ministre souhaite que des compétences à caractère médical soient identifiées et intégrées dans un référentiel de compétences actualisé. Le référentiel de formation devrait inclure une formation en sémiologie clinique articulée avec le Diplôme d'Études Spécialisées (DES) de pédiatrie. 

Le Ministre a reconnu que le programme de formation n’est plus adapté et qu’il doit être mis en conformité avec les évolutions du métier et les nouvelles règles de certification. Une évolution qui mènera vers l’inscription LMD, le développement de la mission recherche en sciences infirmières et à la VAE (validation des acquis de l’expérience). Les travaux devront débuter au cours du deuxième semestre 2022. Les études seront sanctionnées par un diplôme d’État et un grade master délivré par le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.

Le ministère lance une « feuille de route pédiatrie » pour améliorer l’offre de soins aux enfants et leur famille. Les organisations représentatives des 22 000 IPDE en France attendent maintenant la concrétisation de cette feuille de route et demandent à être associées aux travaux. 


Nomenclature d’actes pour un déploiement de l’offre de ville pour les IPDE

Olivier Véran souhaite une installation des puéricultrices dans l’offre de soins de ville. L’objectif est d’apporter une réponse à la désertification médicale et garantir une offre de service complémentaire en matière de santé sur les territoires. Le Ministre souhaite que les médecins et les pédiatres de ville s’appuient sur les IPDE dans le cadre d’un exercice coordonné. Le travail sur une nomenclature d’actes est prévu dès 2022 en collaboration avec la Haute Autorité de Santé (HAS) et l’Assurance Maladie. 

Le ministre affirme son engagement pour une rénovation de la formation concernant les activités, le développement des compétences, en faveur de l’autonomie des puéricultrices et puériculteurs dans le cadre de la feuille de route pédiatrie et l'offre de soins aux familles.

Adrien Taquet évoque une réforme structurante, à des fins de l'ouverture de l'exercice en libéral, d'un exercice coordonné en ville au sein des maisons de santé, centres de santé avec les médecins généralistes et spécialisés, il évoque une offre nouvelle en médecine scolaire pour la santé des enfants en général.


Les organisations représentatives des 22000 IPDE de France approuvent ces propositions et sont disposées à contribuer activement aux travaux de la feuille de route et aux réformes qui en découleront. 


Pour l’ANPDE : Brigitte Prévost - Présidente de l’Association Nationale des Puéricultrices et des Étudiants. 

Pour le CEEPAME : Guylaine Babchia- Présidente du Comité d’Entente des Écoles  Préparant Aux Métiers de l’Enfance

Pour le CIP : Charles Eury - Président du Collège des Infirmièr(e)s Puéricultrices(teurs)

Pour le CJSIP : Katia Saby - Présidente du Collectif "Je Suis Infirmière Puéricultrice"

Pour la SoRiP: Elisa Guises - Présidente de la Société de Recherche des Infirmières Puéricultrices


Estelle Ledon
JNE ANPDE 2022 à Angers : appel à candidatures pour les sessions parallèles et animation d'ateliers

Osez !!!

L'ANPDE lance ses appels à communication pour les JNE 2022

concernant le prix poster, les ateliers et les sessions parallèles.

VOUS SOUHAITEZ PARTAGER UN SUJET LORS DES 47ÈMES JOURNÉES NATIONALES D'ETUDES QUI SE TIENDRONT LES 15, 16 ET 17 JUIN 2022 ?

Alors, c'est le moment ! Retrouvez les informations pratiques et la marche à suivre dans les documents joints.

Toute l'équipe des JNE se fera un plaisir de vous accueillir au centre des congrès d'Angers !

Posters JNE2022 -informations sur cette page

Ateliers JNE2022 - Appel à candidature pour animer un Atelier c’est ICI

Sessions parallèles JNE2022 - Appel à candidature c’est ICI


Estelle Ledon
Appel à candidatures pour le Conseil d'Administration de l'ANPDE, 2 Délégués Régionaux : Ile de France et Bourgogne France Comté

Vous souhaitez vous investir et participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité, dynamiser votre région ?

L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures pour compléter son conseil d’administration.  2 postes de Délégué Régional et d’un suppléant par région sont à pouvoir :

  • Le descriptif du poste de Délégué Régional : ici

  • Les postes disponibles et modalités pour candidater : ici

  • Bulletin de candidature : ici

    Les candidatures sont à envoyer à : secretariat.general@anpde.asso.fr

    La secrétaire générale reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

Postulez avant le 22 janvier 2022 !

Estelle Ledon
Communiqué de presse: la profession infirmière, les spécialités et la formation s’invitent dans la course aux Présidentielles

La profession infirmière, les spécialités et la formation s’invitent dans la course aux Présidentielles

Paris, le 4 janvier 2022 –

Dans le cadre des prochaines élections présidentielles qui se dérouleront les 10 et 24 avril prochains, L’ANFIIDE, l’ANPDE, le CEFIEC, et l’UNAIBODE/SNIBO invitent le 10 mars 2022, les candidats à la Présidence de la République. Ces derniers viendront présenter leur programme concernant l’évolution du système de santé de demain. Cette journée avec les présidentiables se déroulera dans un studio TV. Elle sera retransmise en direct et accessible à tous, via les chaînes YouTube des associations de professionnels.

Feuille de route

Avec la crise que nous vivons depuis deux ans, l’une des préoccupations principales des français sera inévitablement la santé. Gageons qu’elle sera également au cœur des campagnes des candidats. Une récente enquête* révèle que 96% des étudiants infirmiers sont fiers de leur futur métier alors que seul un tiers se disent confiants dans l’avenir du système de santé.

Acteurs et témoins essentiels dans la gestion de la pandémie à l’hôpital comme à la ville, les soignants, notamment la profession infirmière, veulent être entendus s’agissant des problématiques de terrain rencontrées au quotidien. 

Un changement de paradigme nécessaire ?

L’avenir du système de santé doit nécessairement se construire avec l’ensemble des acteurs qui le composent et inévitablement en considérant ceux du terrain. Dès lors, quelles préconisations sont envisagées pour faire évoluer un système qui tend à montrer ces limites face à la crise ? Quelles solutions pour endiguer les problématiques de ressources humaines ? Comment lutter contre le désintérêt des métiers de la santé, contre les abandons de postes et de formation ? Quelles sont leurs visions quant au défi de l’attractivité des métiers de la santé. Autant de questions légitimes que la profession souhaite aborder avec les candidats.


Une organisation

Le jeudi 10 mars, les candidats sont conviés à venir s’exprimer sur un temps imparti, avec les président.e.s des associations organisatrices. Les échanges seront accessibles à tous et en direct via les chaînes YouTube des associations. 


Brigitte Lecointre - ANFIIDE

Brigitte Prévost – ANPDE

Michèle Appelshaeuser – CEFIEC

Magali Delhoste - UNAIBODE

Olivier Wacrenier - SNIBO


Contact Presse : Sébastien Devillers, Aurasi communication

06 63 43 89 24 

sdevil@aurasicommunication.com


Estelle Ledon
Mode d'accueils du jeune enfant : FAQ NORMA 13.12.21

Mode d'accueils du jeune enfant : FAQ NORMA 13.12.21 par la Direction générale de la cohésion sociale (DGCS) du Ministère des solidarités et de la santé.

Première foire aux questions relative à la réforme des services aux familles concernant les modes d’accueil. Ce document sera complété ultérieurement par d’autres supports d’information.

ActuEstelle Ledon
"PÉTITION NATIONALE : Prendre les mesures efficaces pour sauver la PMI"

La plateforme “ Assurer l’avenir de la
Protection Maternelle et Infantile
” à laquelle l’ANPDE contribue activement, a lancé une pétition concernant le projet de loi sur la protection des enfants qui sera réexaminé au sénat mi décembre.

vous pouvez la consulter en cliquant sur le lien : PÉTITION NATIONALE : Prendre les mesures efficaces pour sauver la (...) - Assurer l'avenir de la Protection Maternelle et Infantile (assureravenirpmi.org)

La signer, c’est défendre la PMI mais aussi montrer aux politiciens à qui elle sera adressée, la capacité de mobilisation des puéricultrices et puériculteurs ….

A diffuser !

Estelle Ledon
SAVE THE DATE : WEBINAIRE Infirmière/ier Puéricultrice/teur : quels exercices en ville?

Les membres de la commission des infirmières/iers puéricultrices/teurs de ville de l'association vous proposent un webinaire en direct, le jeudi 21 octobre à 21h, sur le thème des différentes possibilités d'exercice de la #puéricultrice ou du #puériculteur en ville.

Comment construire son projet en fonction de sa situation ? Quelles sont les obligations et les démarches administratives ? Quels sont les statuts possibles ?

Inscriptions gratuites pour les adhérent.e.s par mail : secretariat@anpde.asso.fr
Pour les autres par ce lien ⤵️

https://lnkd.in/dbGmiK5F


#ANPDE #IPDE #liberal #associatif #salariat #cooperation #webinaire

Estelle Ledon
Dans le cadre des 1000 j, les ARS et les DREETS lancent les appels à projets en lien avec la feuille de route gouvernementale

Les ARS et les DREETS lancent les appels à projets en lien avec la feuille de route gouvernementale de la politique des 1000 premiers jours de l'enfant.
Les projets devront participer au développements d'actions en promotion de la santé pour les femmes enceintes, les jeunes parents et les enfants en réponse à des besoins identifiés comme l'alimentation, le sommeil, la vaccination, l'environnement ...
Les projets doivent être portés par des structures et être pluriprofessionnels.
Nous savons que ce sont ces projets locaux ou régionaux qui peuvent faire bouger les lignes, en étant ensuite déployés sur l'ensemble du territoire national.
Il est important pour la visibilité de la profession que les puéricultrices/teurs y prennent part. Ils représentent un levier essentiel vers davantage d'autonomie et de reconnaissance de nos compétences.
Les puéricultrices/teurs y sont cités et ont toute leur place, en lien avec les autres professionnels de la petite enfance.

Renseignez vous rapidement sur le site de l'ARS de votre région.
Les dates de remise de dossier sont très courtes.

L’avenir de la profession est entre vos mains, saisissez-vous de chaque opportunité!

Quelques adresses:

Bretagne:
https://www.bretagne.ars.sante.fr/appel-projets-1000-premiers-jours-en-bretagne-initiatives-en-faveur-de-la-sante-du-jeune-enfant-et
Normandie:

https://www.normandie.ars.sante.fr/appel-projet-conjoint-les-1000-premiers-jours-de-lenfant-lance-par-lars-et-la-dreets-de-normandie

Martinique:

https://www.martinique.ars.sante.fr/appel-projets-1000-premiers-jours

Centre Val de Loire

https://www.centre-val-de-loire.ars.sante.fr/appel-projets-commun-arsdreets-1-000-premiers-jours-en-centre-val-de-loire

https://pays-de-la-loire.dreets.gouv.fr/Save-the-date-appel-a-projets-1000-premiers-jours-de-l-enfant


Estelle Ledon
Communiqué de presse : infirmières/iers puéricultrices /teurs (IPDE) rassurent les Députés de la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale sur la vaccination pédiatrique

Paris, le 22 juin 2021 – Le 4 mai 2020, par communiqué, l’ANPDE répondait déjà aux inquiétudes formalisées par La Haute Autorité de santé, l’Académie de Médecine et Santé Publique France sur la diminution significative de couverture vaccinale des enfants durant la période de confinement national.  Aujourd’hui, c’est au tour des Députés et notamment de la Commission des Affaires Sociales de relancer la dynamique objectivée d’atteindre un taux de couverture vaccinale de 95 %. 

Les IPDE, une solution pragmatique et réaliste

Pour répondre à cette problématique, les Députés préconisent de reprendre au plus vite les travaux de la Haute Autorité de Santé (HAS) sur "l’extension des compétences vaccinales des professionnels de santé, et notamment des sages-femmes". 

Si L’ANPDE se félicite de cette volonté de garantir la couverture vaccinale, elle regrette amèrement que les puéricultrices n’aient pas été identifiées pour ce projet.  Elle rappelle encore une fois que la solution réside également dans le savoir-faire des IPDE. En outre, l’ANPDE précise que les IPDE possèdent toutes les compétences permettant de réaliser les actes vaccinaux, et ainsi venir en renfort des médecins pour réguler plus efficacement ces retards.  

L’expérience de la crise

Les IPDE sont actuellement mobilisées dans le cadre de la vaccination pour lutter contre la pandémie. « Suite à une évaluation de l’état de santé de l’enfant permettant de repérer les situations de contres indications, il est grand temps de donner l’accès aux enfants de 0 à 18 ans à la vaccination avec une prise en charge de la douleur » précise Brigitte Prévost-Meslet, Présidente de l’ANPDE.

Un double objectif 

La vaccination réalisée par les IPDE sert un double objectif selon l’ANPDE qui voit dans cette démarche, l’atteinte de l’objectif des 95%. Elle permet également, pour la puéricultrice une rencontre avec l’enfant et sa famille. Ce premier contact permet très souvent d’établir un premier bilan de santé. 


Un enjeu de santé publique, un enjeu économique

Le recours aux compétences des infirmier(e)s puéricultrices(teurs) permet de réduire le temps d'attente pour la réalisation des vaccinations, d'apporter un soutien aux médecins, et de limiter le risque pour la population infantile d’une recrudescence de cas de rougeole et d’infections bactériennes.

Pourquoi aujourd’hui ne pas mettre toutes les chances du bon côté pour éviter toute nouvelle problématique sanitaire et enfin utiliser toutes les compétences disponibles. Une solution réitérée par l’ANPDE.


Brigitte Prévost Meslet -Présidente- ANPDE


Sébastien Devillers – Aurasi Communication

06 63 43 89 24

sdevil@aurasicommunication.com

Estelle Ledon
Rapport de l'IGAS "La pédiatrie et l’organisation des soins de santé de l’enfant en France"

A lire !!!! 185 pages…

Commencez par la synthèse de 12 pages ….

L'Inspection Generale des Affaires Sociales IGAS publie son rapport "La pédiatrie et l’organisation des soins de santé de l’enfant en France", pour lequel l’ANPDE a été auditionnée ainsi que le Collège des Infirmièr(e)s Puéricultrices(teurs)

https://igas.gouv.fr/spip.php?article821

https://igas.gouv.fr/IMG/pdf/2020-074r.pdf

Estelle Ledon
Candidatures des représentants étudiants pour le Conseil d'Administration et Représentants étudiant à la Commission étudiante l'ANPDE

Vous êtes étudiant(e)s en école de puériculture et vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur différents projets et défendre votre future spécialité ?

L’ANPDE lance un appel à candidatures pour 2 représentants étudiants ( et 2 suppléants) pour le conseil d’administration et des étudiants représentants leur école afin de participer à la commission étudiante de l’association.

  • Lettre aux étudiant(e)s : cliquer ici

  • Descriptif et Bulletin de candidature représentants étudiant : cliquer ici

  • Descriptif et Bulletin de candidature pour la commission étudiante : cliquer ici

Les candidatures sont à envoyer à : etudiants@anpde.asso.fr

Il est encore temps…

Postulez avant le 25 mars 2021 !

Estelle Ledon
Communiqué de presse de l' ANPDE : réforme des modes d’accueil de belles ambitions… sans moyens !

Paris, le 8 mars 2021 – Très attendue par l’ANPDE et les professionnels de la petite enfance, la réforme du cadre normatif des modes d’accueil du jeune enfant de la loi ASAP, qui entrera pour la grande majorité en vigueur en septembre 2021, aura nécessité deux années de travail et de concertation. L’ANPDE, qui a activement participé aux travaux se félicite des avancées réalisées ou en tous les cas du sentiment de vouloir avancer ! Certains aspects, à l’image de la prise en compte des difficultés des assistants maternels (AM) dans leur quotidien professionnel, le contrôle des antécédents judiciaires pour tous les professionnels de l’accueil du jeune enfant, l’administration des médicaments par ces professionnels, l’analyse des pratiques ou encore l’intervention de référent santé sont des atouts supplémentaires pour sécuriser l’accueil de l’enfant. 

Si la volonté de « changer la vie des enfants et des professionnels » pour le gouvernement semble réelle dans les idées, l’ANPDE déplore que les ambitions affichées ne soient pas suivies des moyens permettant de mener les actions envisagées. En outre, l’ANPDE alerte sur des critères à risque pour la qualité d’accueil réservée aux enfants. 

La quantité au détriment de la qualité

Une loi pour garantir les meilleures conditions d’accueil des enfants, de service rendu aux parents ? Une loi visant, comme inscrit dans la charte nationale de qualité d’accueil du jeune enfant, établie en 2017 à favoriser la découverte de la nature, l’éveil artistique et culturel dès le plus jeune âge… Ou une simple loi visant à augmenter les capacités d’accueil ? En lisant entre les « articles », 85 au total, la nuance peut paraître infime. D’ailleurs, un certain nombre de préconisations émises dans le rapport des 1000 premiers jours n’ont pas été suivi dans cette nouvelle loi. 

Les assistants maternels et la qualité d’accueil

Pour permettre notamment aux assistants maternels (AM) de se libérer du temps de formation, tout en étant remplacés par un pair pour l’accueil des enfants dont ils ont la responsabilité, ou pour servir l’objectif d’augmenter le nombre de places d’accueil, la nouvelle loi prévoit un doublement des capacités d’accueil des AM passant ainsi de 4 à 6 voire 8 ! Si les formations sont bénéfiques aux pratiques professionnelles des AM, elles sont au détriment de l’enfant, ainsi accueilli en surnombre. In fine, cette évolution sert plus la cause de la création de places que celle de la formation visant la professionnalisation des AM. Rappelons la position du HCFEA (Haut Conseil de la famille, de l’enfance, et de l’âge) « Les assouplissements concernant en particulier le nombre d’enfants exceptionnellement accueillis par les assistants maternels en plus de leur agrément ne doivent pas entraîner un élargissement pérenne de la norme d’accueil, ni dépasser six enfants de moins de onze ans à la charge exclusive d’un adulte, y compris ses propres enfants. »

Micro crèches et réalités économiques 

La France souffre d’un déficit important de places d’accueil. Pour répondre à ce déficit, l’ouverture de micro crèches privées en tarification PAJE (Prestation d’Accueil du Jeune Enfant) se multiplie. Cependant, dans ces structures, il n’y a pas d’obligation d’avoir la présence d’un éducateur de jeune enfant. La présence du référent technique (responsable de la structure) n’est préconisée que 7 heures par semaine. Cette faible quotité permet au référent technique de multiplier ses missions sur plusieurs sites, laissant ainsi les structures sans manager. Une telle vision entrepreneuriale et économique ne peut être associée à la volonté de qualité d’accueil de l’enfant souhaitée par la nouvelle loi.  Il est dommageable, sous le prétexte que les micro crèches accueillent moins d’enfants, que des personnels soient moins qualifiés que dans les autres structures d’accueil . En outre, ce mode d’accueil exclut la mixité sociale et est inaccessible aux parents en situation de précarité.  Cette logique est contraire aux préconisations du « rapport des 1000 premiers jours » et aux recommandations du HCFEA précisant « les conditions de réussite d’une telle ambition, en termes d’implantation sur les territoires, de mixité sociale, d’inclusion, donc de professionnalisation, de meilleure participation des familles et des associations, et de montée en qualité des services, structures et actions ».

Référent santé et qualification des professionnels

La mission de référent santé octroyée, entre autres, à l’infirmière puéricultrice est une véritable plus-value sur de nombreux points et notamment s’agissant de l’inclusion d’enfants porteurs de handicaps ou de maladies chroniques. En outre, elle favorise l’accueil de tous les enfants, sécurise les professionnels dans leurs pratiques et permet un meilleur accompagnement des professionnels, des enfants et de leurs familles.  Si le projet est une plus-value, le nombre d’heures allouées à la mission par trimestre ne permet pas sa réalisation. L’ANPDE, lors des groupes de travail diligentés par le ministère des solidarités et de la santé, avait préconisé un quota d’heures*.

Autre source d’inquiétude pour l’ANPDE, les probables professionnels pouvant exercer cette fonction de référent santé. Il est en effet prévu de permettre aux infirmiers ayant 3 années d’expérience en modes d’accueil de pouvoir exercer cette fonction ! Or, 3 ans d’expérience en dehors de toute formation pour assurer une démarche réflexive, ne garantit pas un niveau d’exigence de compétences suffisant. Par ailleurs, l’ANPDE rappelle que la formation infirmière (programme de 2009) n’offre plus de contenu pédagogique sur le jeune enfant. Rappelons également, qu’un infirmier disposant d’un diplôme universitaire ou d’un diplôme interuniversitaire en matière de santé du jeune enfant n’existe pas ! La seule formation spécifique infirmière est celle certifiée par le diplôme d’Etat de puéricultrice, spécialité accessible après les trois années de formation en soins infirmiers.

De nouveau, si les ambitions affichées à travers les missions du référent santé sont les bonnes, il est de nouveau regrettable qu’elles ne soient pas suivies des moyens nécessaires.

Les Maisons d’Assistants Maternels (MAM)

Les MAM sont des sites où des assistants maternels mutualisent les ressources et les coûts de fonctionnement pour accueillir les enfants. Pour autant, ces lieux échappent à un certain nombre d’obligations réglementaires et ne sont soumis, à ce jour, à aucun référentiel bâtimentaire national. Rappelons que les professionnels exerçant au sein de ces structures sont peu formés, et ne bénéficient pas de notions administratives et de management. La multiplication de ces différentes missions pour ces professionnels peut les éloigner de leur mission d’AM. Malgré ces contraintes exprimées par l’ANPDE lors des groupes de travail, la loi prévoit néanmoins d’offrir la possibilité pour les MAM d’accueillir 20 enfants au lieu des 16 aujourd’hui, un frein à la qualité de l’accueil du jeune enfant.

Le gouvernement souhaite à travers cette loi favoriser l’augmentation des places d’accueil tout en garantissant la sécurisation et la qualité de l’accueil.  Ces deux principes semblent difficilement compatibles au regard de la réforme du cadre normatif des modes d’accueil du jeune enfant.

*14h/an pour une micro-crèche soit une vraie demi-journée par trimestre (pour 10h/an dans la loi)

28h/an pour les petites crèches soit une vraie journée par trimestre (20h/an dans la loi)

44h/an pour les crèches soit une vraie journée et demie par trimestre (30h/an dans la loi)

56h/an pour les grandes crèches soit deux journées par trimestre (40h/an dans la loi)

70h/an pour les très grandes crèches soit deux journées et demie par trimestre complétée par 10h par tranches supplémentaires de 20

enfants (50h/an dans la loi)


Brigitte Prévost – Meslet

Présidente ANPDE

Sébastien Devillers – Aurasi Communication

06 63 43 89 24

sdevil@aurasicommunication.com

Estelle Ledon
Communiqué de presse : L’ANPDE et les infirmières (iers) puéricultrices (teurs) dénoncent les propos rétrogrades tenus par le Professeur Olivier Claris lors de son intervention au Sénat

Paris, le 23 février 2021 – L’intervention du Professeur Claris lors de sa prise de parole au Sénat le 03 février dernier, dans le cadre de la commission sur la gouvernance et la simplification hospitalières, n’aura pas manqué de faire réagir l’ANPDE et l’ensemble de la profession tant les propos tenus sont irrespectueux à l’endroit des Infirmières(iers) Puéricultrices(teurs) Diplômé(e)s d’État (IDPE) et de leurs compétences. Des propos qui semblent tout droit sortis d’une époque que l’histoire récente de notre système de santé semblait nous faire croire comme révolu. Un raisonnement qui considère que les qualités personnelles sont plus importantes que les compétences spécifiques acquises lors de la formation et leurs reconnaissances à travers la validation d’un diplôme ! Une vision dépassée qui ne permettra jamais de rendre plus efficient notre système de santé. 

Une profession sidérée…

Le 3 février, en séance publique au Sénat, le Pr Claris s’exprimait sur la présence d’IPDE dans les services de néonatalogie en ces termes « Je travaille en pédiatrie : j'ai des infirmières et des infirmières puéricultrices. Je pense que la qualité de la personne est plus importante que son titre ou son diplôme. […] En réanimation néonatale et en réanimation pédiatrique, il n'y a pas de plus-value, sauf sur certains points, mais une infirmière compétente peut aussi convenir ». Les infirmières puéricultrices souhaitent exprimer leur profond désaccord sur ces propos qui ternissent l’image d’une spécialité mais plus largement de la profession infirmière. 

Non, les compétences infirmières ne se limitent pas aux qualités personnelles !
Oui, les diplômes et compétences acquises en formation ont leur importance ! Le temps des nonnes est révolu !

Non, nous ne sommes pas VOS infirmières ! « j’ai des infirmières et des infirmières puéricultrices» traduit clairement une vision archaïque de notre profession.

Nous invitons le Pr. Claris à découvrir le contenu de la formation IPDE. Celui-ci traite en effet pour une grande partie de l’année, de la néonatalogie. 

Aujourd’hui, nous sommes limités par un champ de compétences réglementaire ne correspondant plus au contenu de notre formation et à la réalité du terrain. Pour cela, nous revendiquons depuis plus de 10 ans, une réforme qui n’est toujours pas à l’ordre des priorités gouvernementales. 

Rappelons que la spécialisation permet d’acquérir de nombreuses connaissances et compétences sur la prise en soin d’un enfant, qui ne se limitent pas à « la qualité humaine ».

A quand les médecins généralistes en service de réanimation néonatale et pédiatrique ?

Si « la qualité de la personne est plus importante que son titre ou son diplôme, » pourquoi ne pas prendre des médecins généralistes en service de réanimation néonatale et pédiatrique ? Devrions-nous recruter les néonatologistes sur un test de personnalité ? Si la question se pose pour les infirmiers, cela dénote une vision de petites mains exécutrices, bien loin de la réalité.

M. Olivier Véran, de nouveau au Sénat le 17 février, déclarait en comparant infirmiers spécialisés et de pratique avancée : « Les infirmiers spécialisés, eux, sont organisés par spécialité médicale comme les IBODE, les IADE, etc… […] Les infirmiers de pratique avancée ont vocation à avoir des missions qui sont transversales, consultation, interventions dans des structures très variées, qui ne sont pas directement liées à une spécialité médicale ».  Nous déplorons que la seule spécialité qui n’est pas citée est la nôtre.

Cette définition des infirmiers spécialisés est réductrice. Ces deux discours à quelques jours d’intervalles sont révélateurs d’une vision erronée de notre spécialité. Nous devons avancer ensemble plutôt que d’opposer infirmiers, infirmiers spécialisés, pratique avancée, et surtout reconnaître les compétences professionnelles.

Le Défenseur des droits en 2017 puis la FHF en 2019 demandaient plus de professionnels spécialisés auprès de l’enfant, en particulier des IPDE. Reconnaissez enfin, à leur juste titre, nos compétences cliniques, techniques et relationnelles afin d’améliorer la qualité des soins apportés aux enfants. 

Plus proche de nous, la crise sanitaire a révélé de manière criante l'importance de l'expertise et de la formation dans la gestion des situations complexes. Le rapport d’information « relatif à l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19 » met en lumière les difficultés structurelles de personnels soignants. Selon le rapport, le déficit de personnels compétents « traduit les orientations des politiques de recrutement et de formation »*. 

Un constat très largement exprimé depuis de nombreuses années par l’ensemble de la profession. Pour éviter de renouveler les erreurs du passé, il serait pertinent que certains l’entendent !

*Page 181 du « relatif à l’impact, la gestion et les conséquences dans toutes ses dimensions de l’épidémie de Coronavirus-Covid 19 »






Brigitte Prévost – Meslet – 

Présidente ANPDE


Sébastien Devillers – Aurasi Communication

06 63 43 89 24

sdevil@aurasicommunication.com

Estelle Ledon
Appel à candidatures pour le Conseil d'Administration de l'ANPDE, 2 Administrateurs et Délégués Régionaux : Hauts de France, Grand-Est

Vous souhaitez participer à la vie de l’ANPDE, travailler sur les différents projets et défendre votre spécialité ?

L’ANPDE lance un nouvel appel à candidatures du 07 janvier 2021 au 2O janvier 2021 pour compléter son conseil d’administration pour :

  • 2 postes d’administrateurs 

  • 2 postes de “Délégué Régional” qui sont à pouvoir pour les adhérents :

des Hauts de France ( 02- 59- 60- 62-80)

de  Grand Est (Dép. 08-10-51-52-54-55-57-67-68-88)

Les élections qui se dérouleront par voie électronique du 06 février au 19 février 2021 .

  • Le descriptif du poste d’administrateur : ici.

  • Le descriptif du poste de Délégué Régional. : ici

  • Les postes disponibles et modalités pour candidater : ici

  • Bulletin de candidature : ici

    Les candidatures sont à envoyer à : secretariat.general@anpde.asso.fr

    La secrétaire générale reste à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.

Postulez avant le 20 janvier 2021 !

 appel à Candidatures clôturé

Estelle Ledon